Les Secrets de la Lune
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Mon Pseudo:Marie-Lune
J'habite:Québec .Canada
Je suis une jeune femme et une jeune maman, début trentaine, très amoureuse de son chum et de sa vie de Famille!! J'adore la lecture et je suis une passionnée de la Lune!
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mercredi 1 août 2007

La grosseur de la Lune, une illusion?


Lorsque vous regardez la Lune, grande et majestueuse, dans un ciel noir allumé de milliers d'étoiles et que vous décidez de la prendre en photo avec votre appareil numérique dernier cri, vous constaterez que lorsque vous transmettrez cette photo sur votre disque dur, la Lune sera minuscule.....La Lune, une illusion d'optique??


Saviez-vous que la lune paraît beaucoup plus grande lorsqu’elle est basse que lorsqu’elle est élevée dans le ciel mais qu’en fait, elle occupe toujours le même angle dans notre champ visuel, soit 0,5º. En fait, c’est notre cerveau qui hallucine car il est habitué à ce que tout objet se trouvant à l’horizon occupe un angle de vision inférieur. Par exemple, le nuage au-dessus de notre tête rétrécit à mesure qu’il s’éloigne vers l’horizon. Mais, dans les faits, ce qui n’est pas le cas de la lune. Ainsi, comme celle-ci ne diminue pas de taille en descendant vers l’horizon, le cerveau l’imagine gigantesque et lui accorde donc une importance disproportionnée dans l’image qu’il forme pour nous la représenter. Les caméras ne possédant pas encore notre intelligence parfois trompeuse, ils ne peuvent donc pas s’imaginer la lune plus grosse qu’elle ne l’est en réalité, c’est pourquoi ils nous la représentent dans les véritables proportions, soit comme un minuscule point blanc dans le firmament.
La lune nous révèle donc un grand Secret : ce que nous percevons ne reflète pas toujours la réalité. À cet égard, l’éminent psychologue et philosophe William James a déclaré : «Bien qu’une partie de ce que nous percevons parvienne à nos sens à partir de l’objet qui se trouve devant nous, une autre partie (et ce pourrait être la plus grande partie) provient de notre propre pensée.» Combien de fois dans la vie prenons-nous pour réalité ce qui n’est en fait qu’une illusion ? Ceci m’a appris que nous avons tous tendance à commettre des erreurs de perception qui – si nous en ignorons les mécanismes – nous mènent inévitablement à tirer de fausses conclusions. Tantôt anodines, tantôt plus conséquentes, ces hallucinations mentales nous conduisent à prendre des décisions ayant des répercussions plus ou moins souhaitables sur l’ensemble de notre vie.
Ainsi donc, la prochaine fois que vous serez porté à voir un défaut ou un problème de façon disproportionnée, rappelez-vous du Secret de la Lune :
TOUT N’EST QUE PERCEPTION !

Libellés :


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11 Poussières de Lune:

Anonymous Anonyme murmure...

Bien beau ton blog mais .....
il ne nous raconte pas grand choses sur toi ...
Dou viens-tu ...
que fais-tu ...
Qui es-tu ...
Raconte toi un peu qu on te connaisse

vendredi 10 août 2007 à 12:28:00 UTC−4  
Blogger Marie-Lune murmure...

Un Blog n'est pas toujours fait pour parler de soi..Je préfère parler de la vie en général, de ce qui m'entoure et de mes expériences sur la Loi de l'Attraction que de moi-même...

vendredi 10 août 2007 à 12:50:00 UTC−4  
Blogger Gilk murmure...

Je ne suis pas certain de ta théorie sur la grosseur de la lune car j'en connais une autre. Les différentes couches gazeuses qui forment notre atmosphère agissent comme une loupe à l'horizon, car on y a une vue de coupe, et tout objet de l'espace vu de cet angle sera grossit. Quand il fait chaud, par dilataton de l'atmosphère ce phénomène s,accentue.

vendredi 10 août 2007 à 15:33:00 UTC−4  
Blogger Marie-Lune murmure...

ta théorie est intéressante Gilk

Merci à toi d'être passé et de m'avoir laissé ton commentaire ;-)

vendredi 10 août 2007 à 16:16:00 UTC−4  
Blogger Monsieur l'adulte murmure...

wouha c'est fou ce qu'on s'éduque sur Internet. Vraiment, j'aurais pas cru.

;)

Merci!

mardi 14 août 2007 à 11:39:00 UTC−4  
Blogger Marie-Lune murmure...

Coucou Monsieur l'adulte!! Merci d'être passé sur mon Blog ;-)

Oui, internet est une grande école hihi :)

mardi 14 août 2007 à 11:44:00 UTC−4  
Blogger Raphaël Zacharie de IZARRA murmure...

LE SON DE LA LUNE

Elle me hante avec délices, me tourmente comme un fromage jaune dans la nuit, m'obsède telle une femelle à la chevelure blonde, au regard obscur. Spectre sidéral, oiseau aux ailes d'éther, insecte doré à l'abdomen comme une grosse pierre molle, limace céleste glissant dans le firmament, escargot cosmique faisant baver de toute éternité rimailleurs et superstitieux, la lune qui s'arrondit annonce des rêves peuplés d'herbes folles et de mirages fauves.

Avec son visage phosphorescent, ses yeux charismatiques, sa bouche pleine de miel pâle, la lune me dérange en pleine nuit. Hôte importun, attendu et redouté, elle est la cause suprême de mes insomnies, l'objet essentiel de mes ravissements.

Ses manières lentes, énigmatiques lui confèrent un charme vénéneux, doux et subtil.

Quand la lune brille pareille à un phare, je la soupçonne de réfléchir de toute sa tête. Et à quoi songe ce crâne luisant, enchaîné à son immuable orbite ? La lune pense comme un philosophe, imagine des romans puérils, tisse des histoires à dormir debout, bêle dans la nuit.

Ses pensées éblouissantes, absurdes et fantasques, ne seraient-ce pas ces rêves nocturnes qui depuis des temps immémoriaux agitent et apaisent, effraient et bercent les hommes sur la terre ?

Non, ce serait trop beau.

Les pensées de la lune sont des rayons sauvages et suaves qui percent mon coeur comme des flèches enduites de bave de mollusque vomitive afin d'en faire jaillir feux et silex, éclats lyriques et noirceurs béotiennes, bile amère et exhalaisons exquises.

Raphaël Zacharie de Izarra

jeudi 8 mai 2008 à 18:43:00 UTC−4  
Blogger Raphaël Zacharie de IZARRA murmure...

LE BAISER DE LA LUNE

La lune me tira du lit.

Dans mon sommeil agité, je ne cessai de lui jeter des regards troubles. Il fallait bien que je succombe... C'était l'été, je fus bientôt sous les étoiles en pleine campagne, ahuri. Je m'égarai vers la sylve. Quelque volatile de nuit frôla ma tempe, mais je ne vis rien dans la nue. Rêveur, j'imaginai alors la caresse triste de Séléné sur mon front. Tout en songeant de la sorte, j'errais vers les bois. Autour de moi, un grand silence. Et moi, hagard, hanté par une présence astrale irradiante, douce et vénéneuse, je cheminais le regard divaguant entre sol et zénith, le pas alangui.

Étendant dans les airs son grand voile d'éther, le spectre semblait projeter sur le monde ses songes silencieux et blafards. L'ordre cosmique s'ébranla dans ma raison ensorcelée par l'astre : je me demandai si je ne faisais pas partie des fantasmes sidéraux imaginés par ce globe luisant... Dans mon demi sommeil je le crus un instant. Tel une silhouette née des rêves de la lune, un pantin d'ombre et de nuée issu de ce crâne argenté errant au firmament, j'eus l'impression d'appartenir à cette tête pâle glissant dans l'empyrée...

Puis, dans un grand vertige où je vis tournoyer les constellations, je perdis connaissance. Ou plutôt je m'endormis d'un sommeil brutal et étrange. Je me réveillai avant l'aube, frissonnant parmi les herbes imprégnées de rosée.

Machinalement je passai la main sur mon front engourdi. J'eus la sensation d'y essuyer un sang funeste ou quelque écume mystérieuse. Retournant ma main d'un geste fébrile, je vérifiai.

Une cendre dorée fit luire ma paume, furtivement, avant de se désagréger quasi instantanément en des milliers de particules étincelantes.

Raphaël Zacharie de Izarra

jeudi 8 mai 2008 à 18:45:00 UTC−4  
Blogger Raphaël Zacharie de IZARRA murmure...

LA FACE CACHEE DE LA LUNE

Verte, sournoise, tranchante, voici la Lune qui croasse. Ses ailes d'éther sont de mauvais augure. J'aime les sourires fourbes de cette hanteuse.

Point crucial de la nuit, oeil errant de la voûte, confidente des clochers, elle accompagne mes veilles, fidèle, moqueuse, attachante. Je trouve sa face subtile, sa caresse ironique, son silence mortel. Elle passe, fécondante, prodiguant mauvais rêves et bonnes fortunes. Ses quiets rayons irradient le malheur. Elle rassure les chouettes, effraie les dormeurs.

Elle répand son miel dans l'espace, déverse son fiel sur les poètes, rend muettes les villes, fait parler les campagnes... Elle attise les rumeurs, ravive âtres et légendes, délie les mauvaises langues, fait fermer les portes et sceller les coffres.

Il m'arrive de lui parler. Mes mots pour elle sont tendres. Mais ses éclats sont durs. On la croit pâle, molle, sereine, elle est vive, sèche, tourmentée. C'est une amie sévère qui rit avec férocité, sanglote à faire rendre l'âme.

J'aime cette séductrice aux joues brillantes, au front lisse, au regard fixe. Ne vous fiez pas à ses allures candides, car la Lune en vérité est une méchante fée, une sorcière qui diffuse un parfum venimeux, suave et mystérieux sur la Terre.

Raphaël Zacharie de Izarra

jeudi 8 mai 2008 à 18:47:00 UTC−4  
Blogger Raphaël Zacharie de IZARRA murmure...

LA PLEINE LUNE

Elle se lève sur l'horizon avec un visage pâle, des joues enflées, une tête molle. Elle monte et survole forêts, routes, villages en rapetissant, devient plus vive à mesure qu'elle s'élève. Parvenue au zénith, l'oeil pétillant, le front clair, elle crache comme une vipère sur les oiseaux de nuit qui la contemplent en rêvassant. Éblouissante, muette comme une taupe, féline dans son empyrée, elle plane au-dessus des têtes, ricaneuse.

Elle miaule dans le ciel, les spectres l'entendent. Les hérissons sont ses confidents, les hiboux ses messagers, les tombes ses miroirs. Marmoréenne, duveteuse et sépulcrale, elle étincelle d'un seul feu. C'est une flamme mourante que ravivent à chaque instant les moribonds de la Terre. Asile des trépassés, refuge des âmes envolées, l'astre est un vaisseau hanté. Des fantômes sont à la barre : elle vogue, naviguant à vue, myope, stupide.

Belle comme une morte, séduisante avec ses cheveux de sorcière, charmante avec son sourire hypocrite, amoureuse comme une pieuvre, la mélancolie est son royaume. Déesse inquiétante, fauve céleste, oiseau sidéral, caillou plein d'éclat, la Lune depuis la nuit des temps chante sa complainte à l'Éternité.

Raphaël Zacharie de Izarra

jeudi 8 mai 2008 à 18:48:00 UTC−4  
Blogger Raphaël Zacharie de IZARRA murmure...

LA LUNE

Pour vous rejoindre, depuis si longtemps que j'en avais conçu l'immortel projet, je me hâterai sans regret, ivre de vous, insoucieux du futur, confiant dans votre pâle éclat, attentif à votre regard paisible, envoûté par votre sourire triste et énigmatique.

Vous êtes une lyre éternelle accrochée à la nuit, et avant que je ne sois né vous chantiez depuis toujours avec sérénité au-dessus des nues agitées. Je n'étais pas encore en ce monde, et vous le berciez de vos soupirs lents et infinis. Dès que je vous ai vue, à l'éveil de ma jeune âme, j'ai eu l'intuition d'être né par et pour vous.

Oui, depuis ce temps mythique de mon enfance où, imprégné de votre mystère, j'allais m'évader dans votre chevelure phosphorescente, je rêve de vous. Avec votre insondable mélancolie, vous semblez régner sur mon destin. C'est vers vous que je désire monter. C'est du haut de votre sommet que je veux contempler les êtres et les choses contenus dans l'Univers.

Au jour de ma mort vous diffuserez vos caressants reflets sur mon visage éteint. Vous êtes onirique, et j'aurai l'éternité devant moi pour fouler votre sol de poussière et d'immuable écume.

Raphaël Zacharie de Izarra

jeudi 8 mai 2008 à 18:49:00 UTC−4  

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